Il reste encore un grand espace,
Un grand terrain près de chez moi,
À côté des maisons des voisins qui s’entassent,
Sans goudron, sans béton ; et ce, pour de longs mois.
Quand on voit ça de haut, presque on se croirait libre.
On envisagerait même de respirer
Dans l’odeur des moteurs qui vibrent,
Le bruit des autos mal garées.