Déjà dans les années soixante
on la disait « péricolante » ;
on ne s’attardait pas devant
de peur que ne soufflât du vent.
Et quand finissaient nos vacances,
lorsqu’on s’en retournait en France,
on se disait : « Tiens, on la voit
debout pour la dernière fois… »
On la croyait « péricolante » ;
elle est toujours là, imposante.