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Vaille que vaille, coûte que coûte
leur passage à l’euro tient la route
grâce à vous ou moi qui joue le jeu
en ne comprenant pas les enjeux.

Ya que les professionnels qui merdent
qui se plaignent de l’argent qu’ils perdent
qui refusent de jouer le jeu
tout en nous expliquant les enjeux.

Vaille que vaille, coûte que coûte
7,62 €
leur passage à l’euro tient la route.
Tout un chacun s’y met peu à peu
contraints, forcés on fait ce qu’on peut.

Les banquiers et les financiers merdent.
Ils se plaignent de l’argent qu’ils perdent.
Vous échanger vos francs ? On ne peut !
Des euros on n’en a bien trop peu.

Vaille que vaille, coûte que coûte
leur passage à l’euro tient la route
grâce à vous ou moi et malgré eux
et sans trop mesurer les enjeux.

Mercredi 6 février 2002

Cris de révoltePoèmes sur l'euro

Courriel
Michel ASTRE, Poèmes et chansons pour les cinq saisons.